jeudi 28 avril 2011

Humeur non sans humour : Je cours, tu cours, il court...

Le New Yorkais court toujours, d'une manière ou d'une autre, et cela n'est pas nouveau : 
entre deux taxis, entre deux rendez-vous, entre deux appels... Du matin au soir, et du soir au matin, sans interruption aucune....le tout avec une frénésie incontrôlée - incontrôlable -...  Il court aussi "pour de vrai" : l'assiduité au jogging est aussi remarquable, presque un culte voué à un dieu; Une après-midi de printemps, rendez vous au magasin "LeTemple du Jogger", Manhattan: des rangées de vêtements, de chaussures à s'en étourdir... Rayon femme, une vendeuse : Le saviez vous? la jupe de joggeuse fait fureur... Toutes, elles la veulent... Bref examen de la chose : elle est courte, pas de doute, elle vole au vent, découvrant là ce qui reste encore à découvrir... Il est fort conseillé aux jeunes femmes de ne pas s'encombrer de "panties" et autre shorts courts fort disgracieux, - moue de la vendeuse -  .... Y a t-il un lien entre ces petites histoires ??

dimanche 24 avril 2011

Humeur non sans humour : Le héros du jour

Devinez quoi, devinez qui? Le héros du Jour... Il déambulait lui et ses frères dans les rues  de la ville, fier comme un roi, ils étaient nombreux :  ils s'étaient donnés le mot. Ils prenaient même parfois de la hauteur grâce à certaines. C'est lui, ce sont eux, les responsable de nos abus, les fautifs à montrer du doigt. Oubliées les histoires de cloches qui reviennent de Rome. C'est du ringard. C'était SA journée. C'était Easter Bunny, Easter Bunnies!

mardi 19 avril 2011

Humeur non sans humour : Parcours initiatique

Un, puis deux, ... et finalement trois...bras levés, une multitude de bras levés, une pluie à torrent, des flaques et des flaques... Un air décidé, vous y êtes arrivé, vous avez rejoint ce qui va sauver votre ponctualité du premier rendez-vous du matin. Un autre "bras levé" s'est joint, s'est invité... sans vous consulter, ce serait diantre trop polissé dans le contexte, Il est déterminé le bougre. C'est lui ou c'est vous, aussi simple que cela, tous les deux à égalité sur cette banquette défoncée en skai noir. Les regards se croisent, se jaugent, des paroles sont proférées à l'attention de l'arbitre : 1 à 1 balle au centre. Il y a là une joute verbale sans précédents, limite si les mains ne s'en mêleraient pas, la température monte et il pleut comme jamais, la pluie rythme ce combat de coqs. On retient son souffle : avantage ... quelques secondes interminables encore et ...et...et match! Le vainqueur triomphe, le vaincu s'éclipse en s'évanouissant à travers le rideau d'eau, le taxi démarre... C'était "prendre-un taxi-à Manhattan, un matin, sous une pluie battante" ...